RELATION  ENTRE  LE  PÈRE,  LE  FILS  ET  LE  SAINT-ESPRIT

Par  AKPAGAN  K. M. Cyrille

 

D'abord, d’où vient le Saint-Esprit ?

 

Jésus a parlé en détail de la Trinité et a annoncé le Saint-Esprit

 C’est Jésus qui a annoncé la venue du Saint-Esprit, c’est-à-dire qu’Il a affirmé aux disciples que le Saint-Esprit viendrait quelques jours après Sa montée au ciel. C’est également par Jésus que nous avons une révélation claire et détaillée de la Trinité. Ce terme dérange certaines personnes, parce qu’elles ne veulent pas se soumettre à ce que la Bible dit, mais elles veulent plutôt imposer à la Bible leurs propres idées. Or, déjà dans Genèse I:1, il est écrit : « Au commencement Dieu créa ». On peut, dans le commentaire de ce court verset, écrire plusieurs volumes de livres, parce qu’il est plein d’idées implicites que le Saint-Esprit révèle à ceux qui se soumettent à l’Esprit de Dieu. Le mot « trinité » (trinitas, en latin), n’est pas dans la Bible, et il n’a pas besoin d’y être, pour avoir un sens, et désigner la réalité biblique pour laquelle on l’utilise ; néanmoins l’idée qu’il nomme y est. Dans ce mot, nous avons le radical latin  « tres »  (prononcez  « tress »)  qui signifie « trois ». De même, et ne l’oublions pas, le mot Bible ne figure pas dans la Bible, mais nous l’employons pour désigner les Saintes Ecritures, et personne ne s’y oppose !

 

A propos d'Elohim

Dans Genèse 1:1, en effet, le mot « Dieu » est une traduction du mot hébreu « Elohim », dont une analyse morphosémantique, c’est-à-dire du mot et de ce qu’il veut dire, révèle le sens de « Dieu au pluriel », car la terminaison « im »  marque bien cette idée de pluralité. Mais le verbe qui accompagne ou, plus précisément, qui précède (en hébreu), ce mot est au singulier.

 

Alors, pourquoi le mot « Elohim » est-il suivi d’un verbe au singulier ? N’est-ce pas là déjà l’idée implicite de la pluralité divine impliquée dans l’unicité et dans une action commune ?  Ne  voit-on  pas  déjà que la notion de Dieu est présentée dans la Bible, comme étant « un groupe », « une famille », naturellement composée de plusieurs personnes ? Par ailleurs, dans un autre texte de Genèse, c’est-à-dire au chapitre I, verset 26, il écrit : « Faisons l’homme à notre image.» Pourquoi le verbe faire est-il conjugué au pluriel ? Ne voyons-nous pas également ici qu’il implique plusieurs personnes ? Ne remarque-t-on pas qu’il y a quelqu’un qui lance l’invitation à une ou deux ou plusieurs personnes ? Et que dire de l’adjectif possessif « notre » ? N’en déduisons-nous pas que cet adjectif suggère, par son sens, plusieurs possesseurs ? En général, tout le monde sait que le déterminant possessif « notre » indique plusieurs possesseurs, mais un seul objet possédé. Par exemple, si je dis : « notre maison », je veux dire qu’il y a plusieurs possesseurs (nous), mais une seule chose possédée (la maison), n’est-ce pas ? Il est donc clair que dans l’expression « notre image », nous avons plusieurs personnes (nous) qui possèdent une seule chose qui est au singulier (image). Donc, une seule image pour les possesseurs : elle est unique et commune à tous les possesseurs, parce que le texte  ne dit pas « à nos images », mais bien « à notre image », c’est-à-dire une seule représentation identitaire. De même, dans Genèse 3:22, « L’Éternel Dieu dit : ‘‘Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous’’ ». C’est là encore l’idée claire de la Trinité dans la Bible, que le Christ révélera plus tard en tant que «Père, Fils et Saint-Esprit». (Matt 28:19). Les trois personnes de la Divinité se retrouvent donc déjà dans l'Ancien Testament, ce dont rend témoignage Ésaïe 48:16, où il écrit : "Dès le commencement, je n'ai point parlé en cachette, dès l'origine de ces choses, j'ai été là. Et maintenant, le Seigneur, l'Éternel, m'a envoyé avec son Esprit." On voit bien dans ce verset la présence claire et distincte de trois personnes, mais unies dans leur essence divine. Celui qui dit ici « J’ai été là », c’est bien Jésus-Christ, en tant que « créateur ». La raison en sont les versets 12et 13, où il est écrit : « Ecoute-moi, Jacob ! Israël que j’ai appelé ! C’est moi, moi qui suis le premier, c’est moi qui suis  le dernier. Ma main a fondé la terre, et ma droite a déployé les cieux : je les appelle, et ensemble ils se présentent.» De même, l’expression « fondé la terre » a été plus tard été utilisée par le Père pour l’attribuer à Jesus-Christ, dans Hébreux 1:8 : « Mais au fils il dit : Ton trône, ô Dieu, est éternel… Toi, Seigneur, tu as au commencement fondé la terre, et les cieux sont l’ouvrage de tes mains.» Voilà ce que le Père Lui-même dit au Fils. Jésus est donc Dieu, et le Saint-Esprit est aussi Dieu, puisque est « Dieu est Esprit »,  déclare  Jésus.  (Jean 4 :24).  Donc  l’Esprit est Dieu. Comment ne voyez-vous pas cela?

 

Si le Saint-Esprit  n’était  pas une personne distincte, accomplissant un rôle distinct, et ayant aussi une personnalité, une autorité, pourquoi Jésus a-t-Il recommandé de baptiser « au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit » ? (Relire Matthieu 28:19). Pourquoi donc a-t-Il dit de baptiser aussi en Son nom ? Nous en voyons trop pour douter.

 

Le mot Genèse, qui signifie, en grec, « origine, naissance », retrace l’origine des familles ou des peuples de la terre, dans leurs ensembles, comme étant issus des mains d’une seule Famille divine, et qui sont créés par un seul et unique Dieu (Deut. 6:4), présenté dans Sa dimension plurielle que Jésus confirmera dans l’Évangile, comme étant une Triade ou Trinité, en y apportant des explications sur Sa propre origine et sur celle du Saint-Esprit. Sur Sa propre origine divine d’abord, Il dit : « C’est de Dieu que je suis sorti » (Jean 8:42). En annonçant le Saint-Esprit, Jésus a parlé ensuite de Son origine, de Sa provenance, et Il a aussi dit de Lui ce qu’Il ferait à Son arrivée et pendant Son séjour sur la terre : « Quand sera venu le consolateur, que je vous enverrai de la part du Père, l’Esprit de vérité, qui vient du Père, il rendra témoignage de moi». (Jean 15:26). Dans ce verset, nous voyons clairement que le Saint-Esprit « vient du Père ». Il vient du Père comme Jésus aussi vient du Père. Jésus a, en effet, dit de Lui-même : « Je suis sorti de Dieu ». (Jean 16:27). Or, l’expression  « venir de » ou « sortir de » évoque nécessairement l’idée d’une origine, d’une émanation, d’une provenance. Puisqu’Ils viennent de Dieu, cela veut dire qu’Ils étaient en Dieu, et que Dieu, « Elohim », est composé d’eux. N’est-ce pas là la Trinité ? Qui peut réfuter cela ?

 

La notion de « Trinité » est donc bibliquement fondée ; elle ne vient pas de sources païennes comme certains le croient par ignorance et par idée arrêtée, mais de Dieu Lui-même qui l’a révélée. Elle ne vient pas non plus du Concile de Nicée (325 après Jésus-Christ), comme certains veulent le faire croire. Toute autre démonstration s’efforçant de l’attribuer aux croyances païennes, antiques ou modernes, est fausse. Car ce concile n’a pas inventé le principe biblique de la Trinité ; mais plutôt il l’a confirmé et la publiquement promulgué. C'est cette différence que certaines personnes n'arrivent à concevoir. En effet « promulguer » ne signifie pas « inventer », ni « créer »,  ni « établir ». On ne peut promulguer que ce qui existe déjà.

 

Aux Conciles de Nicée, en 325 ... et de Constantinople, en 381

(Symbole des Apôtres ; Symbole de Nicée-Constantinople ; "Catholicam ecclesiam" ; plus tard, profession de foi des Vaudois et Reforme) 

 

D’autre part, le Concile de Nicée  était convoqué pour combattre des courants hérétiques qui remettaient en cause la divinité de Jésus-Christ égal au Père -, courants, dont le principal était l’arianisme, mis en branle par Arius, évêque d’Alexandrie, au IV ème siècle, et qui soutenait que Jésus n’était pas Dieu, qu’Il ne pouvait pas être Dieu, et qu’Il était très inférieur au Père. Il fallait donc combattre cette idée antibiblique qui commençait à se répandre partout. D’où la convocation, en 325, de tous les évêques du monde chrétien d’alors, dont plus de la moitié venait d’Afrique. L’empereur Constantin Ier, devenu chrétien en 312, devait à titre d’honneur, patronner ce grand rassemblement, dans l’empire romain, où les chrétiens ne jouissaient pas encore d’entière notoriété. Constantin Ier ne régnait que sur une partie de l’empire, à l’opposé de deux autres empereurs concurrents. Mais cette notoriété pour les chrétiens a sensiblement commencé sous Constantin I er, dès l’an 313. Elle aura son apothéose sous l’empereur Théodose, en 392, qui fit cesser les persécutions contre les chrétiens, et interdit les cultes païens et ordonna la fermeture des temples idolâtres. On n’oubliera pas aussi les rôles joués par d’autres, dont l’empereur Constance II qui, en 360, proclama l’unicité de la foi chrétienne dans tout l’empire.

 

Ce concile était donc convoqué pour débattre en priorité de la divinité de Jésus-Christ, d’où la doctrine de Filioque : Jésus-Christ est de la même nature que le Père, et le Saint-Esprit provient des deux, donc « et du Père et aussi du Flis », d’où l’expression latine « Filioque », ce qui relève bien de la Trinité qui, elle-même, est basée sur la Bible. (Il faudra relire Jean 15:26 et Jean 14:26, pour voir que le Fils envoie le Saint-Esprit de la part du Père, et qu'en même temps, le Père envoie le Saint-Esprit au nom du Fils.)

 

Par ailleurs, sur le plan doctrinal, le dogme trinitaire fut explicité d’une manière jugée satisfaisante au concile de Constantinople, en mai 381, où se réunirent cent cinquante évêques. Ils réaffirmèrent la profession de foi du Concile de Nicée, d’où l’adoption du Credo, appelé encore le Symbole des apôtres, qui commence par ces mots : "Je crois en Dieu le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre. Et en Jésus-Christ, son Fils notre sauveur, qui a été conçu du Saint-Esprit, est né de la Vierge Marie... Je crois au Saint-Esprit, etc."  

 

En réalité, le "Credo" (qui signifie "Je crois") ne date pas du Concile de Nicée, mais du temps des apôtres, lors de leur dispersion, dans les années 36-40, dans sa version originale. C'était, en effet, un symbole traditionnel par lequel les chrétiens de l’époque se reconnaissaient dans les vérités cardinales de la foi chrétienne, lorsqu’ils se recontraient ou se réunissaient. On en faisait aussi usage dans les cérémonies baptismales. Il a été officiellement repromulgué au concile de Nicée (325) et plus tard à celui de Constantinople (381), d'où sa deuxième appellation de Symbole de Ncée-Constantinople, mais basé sur le Symbole des Apôtres, avec, toutefois, quelques mots ajoutés en  complément. Le  Symbole  de Nicée-Constantinople, commence ainsi :   " Je crois en un seul Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, de l'univers visible et invisible. Je crois en un seul Seigneur, Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu. Né du Père avant tous les siècles. Il est Dieu, né de Dieu, lumière, né de la lumière, vrai Dieu né de vrai Dieu, engendré et non créé, consubstantiel au Père, et par Lui tout a été fait. Je crois en l'Esprit-Saint, qui est Seigneur et qui donne vie, Il procède du Père et du Fils, etc."

 

À l'époque, le mot "catholique", créé pour la circonstance pour désigner  « l’Eglise » dans ces textes, n'avait rien à voir avec le sens que nous lui donnons aujourd'hui par rapport à "protestant". Mais il signifiait seulement "général", "universel", "pour tout le monde", par opposition à la religion des païens fondée sur des mythes ou des croyances idolâtres qui varient de tribu à tribu, de peuple à peuple, de culture à culture. Donc la religion chrétienne se présentait comme étant la religion universelle du Dieu unique et de tout le monde, au-dessus des clivages culturels, ethniques et ancestraux des religions païennes. C'est pour cela que, dans les années de la Réforme, on a préféré, pour éviter des clivages et des confusions, remplacer l'expression "Catholicam Ecclesiam" (église catholique) par "Ecclesiam   Universem » " (Eglise universelle).

 

Le Symbole des Apôtres constituait la déclaration fondamentale de l'Église apostolique (l'Église chrétienne, tout court), basée sur la foi dans le Père, dans le Fils et dans le Saint-Esprit, dès le premier siècle, et inspirée des idées du Nouveau Testament, qui apparaîtra plus tard, d'abord sous sa forme de rouleaux (livres), puis rassemblés et enfin reliés. On le professait lors du baptême dès le premier siècle. Et dans les églises, lors de la liturgie, on récitait le Symbole de Nicée-Constantinople.

 

C'était une période de tracasseries doctrinales, théologiques et même impériales. A titre d'exemple, Athanase, nommé évêque d'Alexandrie, en l'an 328, et grand défenseur de la Trinité, a été persécuté et exilé cinq fois par cinq empereurs de son temps, à cause des sa fidélité au Symbole de Nicée! Pourquoi alors diriez-vous que ce soient les empereurs qui auraient établi la Trinité ? Etaient-ce eux qui avaient écrit la Bible ? S’ils étaient les promoteurs de la notion biblique de la Trinité, pourquoi auraient-ils persécuté Athanase dans sa cause pour la défense de la Trinité ? (Nous savons néanmoins que certains empereurs, dont Constantin par exemple, ont introduit certaines choses idolatres dans l’Église chrétienne, mais il nous faut éviter de faire l’amalgame des idées et des courants, et le mélange des genres.)

 

Au XII ème siècle, les Vaudois, ces chrétiens fidèles à la Bible et non aux traditions et philosophies humaines, soutenaient dans leur profession de foi, en disant : "Nous croyons et nous tenons fermement tout ce qui est contenu dans les douze articles du Symbole, appelé des Apôtres, tenant comme une hérésie tout ce qui y est en désaccord et ne convient pas avec lesdits douze articles. Nous croyons en un Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit.Nous reconnaissons pour saintes Écritures canoniques, les livres de la sainte Bible." Néanmoins ils ne condamnaient pas les livres dits apocryphes : "Nous les lisons, déclaraient-ils, comme dit saint-Jérôme dans son prologue sur les Proverbes, pour l'enseignement du peuple, et non pour confirmer les doctrines de l'Eglise." 

 

Les thèses issues d’Arius, entre autres hérésies au IVème siècle, et qui niaient la divinité du Christ, et à cause desquelles fut convoqué le Concile de Nicée,  ont été battues en brèches au quatrième siècle. Mais certaines personnes les réveillent de nos jours, pour faire croire qu’elles découvrent quelque chose de nouveau. Or, elles viennent trop tard ! Il faudra donc, dans ce cadre de doctrines bibliques et théologiques, savoir être lucide sous l'assistance du Saint-Esprit éclairant la lecture de la Bible, éviter des confusions historiques, des amalgames doctrinaux et des erreurs d'interprétation.

 

Eviter des confusions historiques et l'amalgame 

Toute spéculation qui vise à attribuer le principe biblique de la Trinité  à  une  décision d’empereurs romains, ou  à des croyances égyptiennes, mésopotamiennes, ou autres, est une fausse spéculation intellectuelle, une confusion historique, une démonstration oiseuse, vaine, mystificative, antibiblique, une contrevérité profanatoire, délétère et dangereuse pour la foi, tant de ceux qui professent cette spéculation, que pour celle de ceux qui l’écoutent. La Trinité divine existait bien avant la  naissance des mythes des peuples qui l’ont plutôt parodiée dans leurs cultes idolâtres, et elle n’a rien à voir avec ces mythes : ils ne peuvent ni la justifier ni la remettre en cause. Il existe, bien sûr, certaines choses et des doctrines idolâtres qui se sont infiltrées dans l’Eglise chrétienne ou dans les commentaires bibliques ou dans des pratiques cultuelles, cependant, il faut savoir les discerner bibliquement, et éviter surtout l’amalgame.

 

La question de la Trinité est pourtant bien claire dans la Bible 

La question sur la Trinité est si bien claire dans la Bible, que même tout enfant pourrait bien la reconnaître. Autrement dit, si les trois personnes de la Divinité n’étaient pas distinctes, mais présentes ensemble en une Unicité égalitaire, pourquoi le Christ aurait-t-Il dit de « baptiser au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit » ? (Matt. 28:19). Ne voyez-vous qu’il y a ici égalité d’autorité, de compétence, d’honneur, de gloire et de personnalité ? Ne voyez-vous qu’il est, ici, question de l’explication détaillée fournie par Jésus-Christ sur ce que nous appelons Dieu ? Il y a un seul Dieu. Et Dieu est Unique. (Deut. 4:6). Mais Savez-vous les éléments qui sont dedans ? L’infirmité du langage humain peine à expliquer Dieu. Il faut donc s’en tenir à la révélation faite par Jésus-Christ. N’oublions pas que le Fils appelle le Père Dieu (Matt. 27:46), et que le Père aussi appelle le Fils Dieu. (Héb. 1:5-10). Il  faudra de même relire Esaïe 48:16.

Tant que les détracteurs de la Trinité n’auront pas accepté cette déclaration de Jésus-Christ : « au nom du Père et du Fils et du Saint », toutes leurs discussions seront oiseuses et donc antibibliques. En réalité, on n’a pas tellement besoin des sources historiques ou archéologiques ou théologiques, pour justifier la Trinité, car tout est déjà clair dans la Bible. C’est plutôt notre endurcissement de cœur qui, dans certains cas, nous pousse parfois à recourir à l’histoire et aux documents théologiques qui souvent compliquent des choses pourtant simples, qu’il faudrait plutôt accepter comme le ferait tout enfant. Jésus-Christ a donc raison, lorsqu’Il déclare : «Quiconque ne reçoit pas le royaume des cieux comme un petit enfant, n’y entrera point.» (Marc 10:15). La Trinité établit une relation évidente entre le Père, le Fils et le Saint-Esprit.

 

Quelle est la relation entre le Saint-Esprit et Jésus-Christ ?

 Pour le savoir, reportez-vous au livre Les Dimensions du Saint-Esprit et de son oeuvre. 

  

Au baptême de Jésus-Christ, que s'est-il passé ?

 Pour le savoir, reportez-vous aux pages 57-61 du livre Les Dimensions du Saint-Esprit et de son oeuvre. 

 

Relation entre Dieu le Père et Dieu le Fils concernant l’envoi de Dieu le Saint-Esprit dans le monde.

 Pour le savoir, reportez-vous au livre Les Dimensions du Saint-Esprit et de son oeuvre. 

 

Quel est le rôle du Saint-Esprit  concernant Jésus-Christ ?

 Le rôle du Saint-Esprit joue un rôle concernant Jésus-Christ, mais lequel ? (Pour continuer, reportez-vous directement au livre Les Dimensions du Saint-Esprit et de son œuvre, écrit par AKPAGAN K. M. Cyrille, Paris, Édisercom, 2018, P.23.  Pour avoir ce livre, cliquez sur le titre !)

 

Il est avantageux pour nous que Jesus-Christ parte pour le ciel

Mais pourquoi le départ de Jésus pour le ciel est-il « avantageux  pour nous » ?

   (Pour poursuivre vos réflexions par la lecture de ces pages, reportez-vous directement au livre Les Dimensions du Saint-Esprit et de son œuvre, écrit par AKPAGAN K. M. Cyrille, Paris, Édisercom, 2018, P. 25.  Pour avoir ce livre, cliquez sur le titre !

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Pour vous préparer à comprendre toutes ces idées, reportez-vous d'abord au livre Le Respect  du  sacré  dans  la  vie chrétienne, écrit par AKPAGAN  K.  M.  Cyrille, et publié en 2005, puis réédité en 2016. Pour poursuivre votre lecture, cherchez l'édition de 2016, car elle contient plus de 150 pages ajoutées. C'est l'édition définitive.

 

 

D'autre part, pour compléter vos idées sur le retour de Jésus, les différents types de résurrection des mortsl'enlèvement des croyants justes, la guerre d'Harmaguédon, la capture de Satan, la guerre de Gog et de Magog, le salut et la vie éternelle, le millénium, la destruction du mal et du péché, reportez-vous au livre "Les Dimensions du péché et de la grâce", publié en 2020.  

 

Frère AKPAGAN  K. M. Cyrille
Conférencier biblique
Évangéliste itinérant
Prédicateur de réveil
Accompagnateur spirituel
Par la grâce de Dieu et pour sa gloire

 

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